Départ matinal (le club pêche ne désespère pas de pêcher au lever du soleil …)

5h14 : Départ moteur (542,8h)

5h40 : Arrêt moteur (543,2h) – navigation à la GV et au foc.

6H10 : Départ moteur

6H30 : Arrêt moteur (543,6h)

6h46 : départ morteur : le cap Corse est plus difficile à passer que le cap Sicié ! Le vent est très instable .

6h56 : arrêt moteur – navigation au gennaker.

7H15 : Adrien se lève, le vent aussi : rangement du gennaker (trop rapidement ) et envoie du foc.

7H50/ 8h : Yohan part se coucher, Sandrine se lève.

9h : le vent baisse, on renvoie le gennaker (il se remet bien)

9h27 : départ moteur (543,8h)

Et un banc de dauphins vient jouer avec le bateau

10h 07 : Sebastien évoque l’idée d’aller se reposer, et poisson au bout de la canne !

Adrien et Gaël sont dubitatifs

17 min après, il est à bord :

Identification de l’espèce :

Pesée du thon : 21 kg (!!!!) -> on se rendra compte le lendemain que c’était des livres … Donc une dizaine de kilo

La photo officielle :

Puis nettoyage du poisson ! Nous terminerons sur l’heure de midi !!! C’est un métier la pêche 🙂

Et au repas du midi, un carpaccio de thon (heureusement que nous avions du citron à bord …)

En début d’après-midi, tout le monde se repose.

15h30 : Arrêt moteur (549,8h) , GV et FoC. Et c’est parti pour un « super bord » 🥰

17h30 : envoie du gennaker

18:10 : le vent se lève, nous rangeons le gennaker et envoyons le foc.

18h39 : départ moteur (549,8h) – le vent est faible et de face.

19H30 : un dauphin vient nous faire coucou

Et le soir au dîner, nous mangeons du thon poelé avec du riz, un régal.

Les quarts de nuit commencent avec Gaël et Sébastien jusqu’à 23h.

De 23h à 2h, ce sera Sandrine et Yohan.

Puis de 2h à 5h, Adrien et Gaël .

Et enfin de 5h à 8h, Sébastien et Yohan ( quand il ne dort pas 🙂 )

A 8h, Sandrine se lève et Yohan part se coucher.

Nous passons Porquerolles .

Et à la hauteur de Toulon, nous entrons dans une nappe de brouillard (nous l’avions repérée au loin, nous voyions un gros cargo puis il disparaissait)

Au début, c’était drôle.

Puis, nous avons commencé par avoir froid :

Mais au bout d’un certain temps, la fatigue s’accumulant, cela est devenu un peu stressant.

Nous avions parfois moins de 50m de visibilité, des bateaux qui naviguent sans AIS et un peu de traffic le long du cap Sicié et entre les magnons et Sanary.

Adrien était le souffleur de la corne de brume.

Et tout le monde veille et alerte au moindre bateau en vue :

Le brouillard se lève tout juste quand nous entrons dans le port de Sanary :

12h25 : Arrêt moteur à Sanary avec une manœuvre hyper maîtrisée avec un équipage fatigué mais pro jusqu’au bout !

Nous prendrons une bonne douche puis irons déjeuner une crête au « galion » avant de ranger, vider et nettoyer un peu le bateau. Nous rentrons sur luynes en fin d’après midi pour dîner un bon thon mariné sauce soja/ miel avec des graines de sésame 😋

Et juste en souvenir, le livre de bord (à bord !)