Petite journée d’entretien sur Agayo 2 !
Changement des hauts parleurs et questionnement autour de la barre !
Changement des hauts parleurs et questionnement autour de la barre !
Bye Bye Bandol …
Le convoyage vers Sanary est effectué par Gaël et Sébastien !
Depuis le 5 juin qu’il était à sec, AGAYO flotte à nouveau !!!
Petit tour à Bandol pour voir l’avancée des travaux sur Agayo 2 !
La coque d’AGAYO est toute belle, mais le sail-drive n’est pas remonté…
Convoyage de Sebastien et d’Adrien de Sanary à Bandol pour sortir le bateau pour le carénage annuel.
Cosse à vis : 145 cm
(facile comme article 🙂 )
Petite explication des repères sur la chaine de mouillage
C’est le printemps, migration d’Agayo 2 de la place 816 à la place 910
Ajout de 90 ml de biocide dans le réservoir à gazole
Changement de la bouteille de gaz !
Trop d’amarres dans le coffre ! Un point s’impose !
Et une petite journée de plus d’entretien sur AGAYO II …
AGAYO II est maintenant prêt pour l’été !
24h sur Agayo II pour profiter de Sanary et continuer l’entretien du voilier.
Belle journée de janvier pour aller à Sanary effectuer quelques petits travaux sur le bateau.
Vidange d’huile, et changement de filtre à huile à 459h
Changement de préfiltre et filtre à gazole à huile à 461h
Retour sur Sanary avec Yohan pour la recherche des pales de turbine …
Matinée bricolage moteur avec Yohan pour changer la turbine.
Mission carénage effectuée ! Navigation vers Sanary …
Journée en solitaire pour Sébastien sur Agayo II pour poser les panneaux solaires
La météo n’était pas à la navigation aujourd’hui – trop de vent mais au bricolage !
Encore une belle journée pour tirer des bords !
Séance collage de stickers ce week-end pour afficher « AGAYO II » sur la poupe !
Petit carénage par Lud’eau Services avant la croisière inaugurale !
(référence 907)
Vide : 3,7 kg
Pleine : 6,45 kg
La notre à l’instant : 4,5 kg …
Cette année, grande première pour les apprentis voileux que nous sommes, nous faisons nous même le carénage d’Agayo du 9 au 11 mai … Afin d’assurer, même si l’opération peut-être faite sur une seule journée, nous planifions cette opération sur 3 jours : le premier jour pour le sortir de l’eau et nettoyer sa coque, le second pour appliquer l’antifouling et le dernier pour la remise à l’eau.
Première étape : sortir Agayo de l’eau !
Mercredi 9 mai, nous arrivons à 9h au port. Les grutiers sont présents, la météo est idéale (pas de vent). La première opération va pouvoir s’effectuer.
Seb descend la baume, nous enlevons le speedomètre (opération toujours délicate …) et quittons notre place pour nous amarrer au pied de la grue. La manœuvre d’approche est parfaite. J’ai juste besoin d’un petit peu d’entrainement pour sauter un peu plus vite sur le quai ( 😉 ). Seb démonte le pataras et assure le mat pendant que les grutiers préparent la grue et les sangles pour le sortir de l’eau.
Agayo est maintenant à sec, nous allons pouvoir nettoyer sa coque. Seb remonte à bord pour remettre le pataras (il est prévu un peu de vent demain…)
Deuxième étape : le nettoyage au nettoyeur haute pression
La coque d’Agayo n’est pas très « habitée » : c’est certainement parce que nous l’avons brossée 2 fois l’été dernier…. Nous y trouvons quand même des bryozoaires, hydraires, vers , balanes … Le premier nettoyeur haute pression que nous utilisons n’est pas très efficace : quand notre voisin de cale a terminé de nettoyer son bateau (ok un peu plus petit) alors qu’il avait commencé bien après nous , il nous échange son nettoyeur et nous finissons rapidement le nettoyage …
Il aura fallu environ 2h30 tranquillement pour finaliser cette étape. Nous terminons cette matinée en déjeunant au Nautilus, le nouveau restaurant de la SNEM.
Troisième étape : l’antifouling
Le jeudi 10 mai, nous arrivons en famille pour l’antifouling. Seb prépare le mélange (cuivre / peinture) et s’en met partout à cause du vent. La VC17 est super liquide, les premières applications ne sont pas évidentes… Mais on se rode, j’applique la peinture, Seb fait les finitions au pinceau. L’année prochaine, il faudra prévoir 2 tenues de combat pour le peindre à 2 (et des masques et plus de gants car on s’en met partout 🙁 )
Les enfants en profitent pour aller se chercher des churros au chocolat (!!!)
Seb en profite également pour monter à bord pour déconnecter les batteries que nous avions oubliés de couper la veille.
Cette étape aura durée 2 h. Agayo est tout beau, c’est dommage de le remettre à l’eau car sa coque va perdre cet aspect cuivré pour devenir noire (« graphite »).
Quatrième étape : la remise à l’eau et le retour à sa place
Le vendredi 11 mai, nous arrivons à 16H30 et bizarrement un vendredi en fin d’après midi, 5 bateaux doivent être remis à l’eau… Nous attendons donc un peu, nous en profitons pour apprendre de la mise à l’eau d’un voilier un peu plus grand que le notre et de sa manœuvre parfaite de sortie en marche arrière de la panne … (on se dit qu’il va falloir faire de même…)
Les grutiers sont super conciliants avec nous : Après avoir enlevé le pataras, Agayo est levé, les cales sont enlevées , nous grattons et peignons sous les patins et sous la quille (nous peignons que la moitié de la quille sur les bons conseils de notre voisin de pane …).
Puis remise à l’eau…doucement… Seb remet le pataras.
Le grutier nous aide à positionner Agayo pour la marche arrière et c’est parti pour une superbe marche arrière tout le long de la pane. Virage un peu serré à tribord mais ça passe et retour à notre place avec une manoeuvre très maîtrisée !
Victoire ! Le carénage 2018 fut une réussite… due à de belles conditions météos pour les manœuvres de port, une préparation minutieuse de tout le matériel de Seb, et aucun stress sur les différentes étapes…
Et pour le mémo.
Petit mémo pour préparer les prochains carénages…
Préparer bateau pour grutage:
Grutage :
Position sangles :
Une fois sur bers, remettre pataras si vent
Nettoyage :
Peinture et anode :
Une fois peinture terminée :
Mise à l’eau :
Une fois remis à l’eau :
2019 :
Prévoir anti-dérapant pont? Quille?
Reste : Diluant, bande adhésive, rouleau peinture, combinaison jetable.
Agayo est équipé de 7 gilets gonflables de marque Plastimo.
Sandrine : Pilot 150
Kit: 40200
Cartouche : 40255
—
Seb : Pilot 150 – Pro Sensor
Kit: 58460
Cartouche : 58505
—
4 x Pilot 150N
Kit: 40201
Mécanisme déclenchement hydrostatique Hammar A1 : 42440
—
Enfant Pilot Junior 100N :
Kit 38429
—
Cartouches CO2:
– Enfant :24g
– 150N: 33g
Les références : kits de recharge gilets
Agayo embarque 3 Batteries :
Elles sont connectées au moteur par un interrupteur 4 positions:
>> Démarrage moteur : 1 (ou both)
>> Moteur en route : both (pour charger toutes les batteries)
>> Moteur à l’arrêt : Off ou 2 (surtout pas 1 ou both car risque de décharger la batterie)
Le chargeur 220V connecté aux batteries de services (2a/2b). Passer l’interrupteur sur Both permet de charger également la batterie moteur (toutes les batteries sont alors en //).
>> A quai si 220V branché : Both
Le waterlock, aussi appelé « boite à eau », permet de mélanger les gaz d’échappement à l’eau de refroidissement, il se situe donc à la sortie du moteur, juste avant que l’eau ne quitte la coque…
Elle est en inox et subit la corrosion importante. Après une première réparation (« sans garantie sur la durée ») à l’automne ou une partie des zones usées ont été changées, revoilà avec une fuite:
certes, toute petite et qui ne gênerait pas en fonctionnement… Mais qui suffit à vider les quelques litres d’eau dans le bateau une fois celui-ci arrêté.
Plutôt que de me lancer dans une soudure inox, vu la taille de la fuite, je tente une colle qui semble pouvoir faire l’affaire :
« JB Weld Original froid Weld Formule renforcée d’acier époxy 8265 pour les réparations domestiques, automobiles, plomberie »
Elle semble avoir bonne réputation pour ce type de besoin.
On entend parfois parler de « soudure à froid »… Mais cela reste une résine bi-composant.
Apres avoir percé le trou (pour pouvoir y glisser au mieux la résine), je recouvre aussi la zone qui était un peu piquée :
Et c’est reparti !
Le moteur d’Agayo vient d’atteindre les 1000h !
Un palan est un mécanisme de transmission du mouvement constitué de deux groupes (ou moufle), l’un fixe, l’autre mobile, contenant chacun un nombre arbitraire de poulies, et d’une corde qui les relie. Il sert à réduire l’effort nécessaire (ou démultiplier la force utilisée) pour rapprocher les deux groupes de poulies. On en utilise par exemple pour soulever des objets lourds, ou bien en voile sur un bateau pour border les voiles.
C’est la définition de wikipedia, et effectivement, c’est bien un palan un qui nous sert à border les voiles… Cependant notre palan (d’écoute de grand voile) était peu pratique d’utilisation car les aller-retour de l’écoute entre les poulies faisaient que les brins se touchaient, et que l’ensemble du palan avait tendance à faire une rotation. Au final, c’était à ce demander s’il ne fallait pas passer l’écoute différemment entre les poulies. Et effectivement, un schéma trouvé sur le site d’Harken, puis une modification de l’ordre de passage dans les poulies a permis de régler le problème.
Suite à notre trajet retour des Embiez, le faisceau électrique du moteur qui en vibrant contre le bloc moteur déclenchait l’alarme était toujours à réparer. Apres avoir enlevé le scotch (usé par frottements) qui le protégeait je n’ai pas vu de fils abîmes. Je l’ai scotché l’ai positionné/fixé à l’aide de rilsans de manière à ce qu’il ne touche plus le bloc moteur. A suivre…?
Sortie de l’eau pour Agayo afin d’effectuer son entretien avant la saison estivale : carénage et changement du presse étoupe au programme. Mais késako ? Le presse étoupe est un grand timide, qui se cache sur l’arbre d’hélice d’un bateau, et sans lequel tout irait à l’eau !
9 mai à 9h30 : Départ de la SNEM pour le port de Corbières.
Météo | Grand soleil |
Mer | Peu agitée |
Vent | 2b |
Nb heures moteur départ | 977,4 |
Nb heures moteur arrivée |
La grue étant occupée, nous laissons le voilier sur une place au port (manoeuvre parfaite, un peu plus de dynamisme sur l’attache des amarres aurait été le bienvenu… ). Il sera sorti par Lud’eau Services vers 15h l’après midi.
10 mai : Viste de chantier pour définir les modalités du carénage avec Lud’eau et échanger avec Manuel pour la révision moteur.
On en profite également pour prendre des photos difficiles à prendre quand il est à flot …
12 mai : Agayo retourne à la mer (sans fuite au niveau du presse étoupe ) et nous le ramenons à la SNEM
Mettre les photos de mise à l’eau
Météo | ? |
Mer | ? |
Vent | ? |
Nb heures moteur départ | |
Nb heures moteur arrivée |
Mémo : A voir l’année prochaine, comme nous le conseille Lud’eau, si on change la peinture du carénage pour en mettre une moins salissante (la VC17 est idéale pour les régates, bonne glisse… ) Mais pour cela, il faudra complètement décaper la coque et la quille 🙁
Changement de presse-étoupe, passe-coque du circuit de refroidissement du moteur, silent block et bague hydolube/elastomère.
Maintenance du 24 Avril 2017 :
Vérification des compressions : 2 x 32 bars (specs: 28 à 33 bars).
Maintenance moteur :
Pas de bougies de préchauffage, débrayer et accélérer pour démarrer puis baisser le régime moteur.
Ralenti: 850trs/min
Croisière : 3000 trs/min
Possibilité de pousser à 3500 trs/min (décrasse)
Fiche moteur ici.
… et en attendant un moteur !
Parsun, 4temps, 2,6ch : Manuel du propriétaire_F2.6BMS
Testé à la maison!
Changement de joint des WC
Démarrage du moteur après arrêt prolongé / froid. Procédure :
Changement de la prise 220V, pour une prise de type P17 (à finir)
2 notices disponibles pour notre moteur (Yanmar 2GM20) : Livret entretien et Notice plus complète.
L’arrivée se fait par le plus gros des 2 câbles qui alimente :
La Sortie du disjoncteur différentiel alimente :
Si le voyant jaune n’est pas alumé, c’est qu’il n’y a pas de courant.
Si le voyant vert ne s’allume pas (alors que l’interupteur est en position on) c’est que la prise et le chargeur ne sont pas alimenté (pas de courant ou disjoncteur différentiel sur off).